Il fait une chaleur torride en ce mois de juillet.

Sylvaine et Yvan, un couple d’une trentaine d’année, habite une villa sur les hauteurs de la ville. Ils peuvent sans risque, dormir les fenêtres ouvertes, pour faire du courant d’air. En tout cas, c’est ce qu’ils croient.

Yvan est un colosse d’un mètre quatre vingt dix, pour cent kilos, donc apte à protéger sa dulcinée.

Si la nature a dotée Yvan de muscles, il ne l’a, en revanche, pas doté d’une bite et d’une paire de couilles respectables. C’est pourquoi, pour les trente ans de sa ravissante épouse, il lui a offert un gode, pour qu’elle puisse prendre du plaisir.

Après avoir étrenné le joujou, ils s’endorment profondément.

Soudain, trois hommes cagoulés, font irruption dans la chambre. Yvan se lève d’un bond, mais est mis en joug, par un cambrioleur. Un deuxième inconnu éclate de rire en voyant le sexe ridicule d’Yvan. Le troisième s’est approché du lit, caresse le corps entièrement nue de Sylvaine.

-Laisse là enfoiré, cri Yvan.

-Elle est belle ta femme, dit-il, si on lui mettait un bon coup de queue.

-Pourquoi pas, Jef, ça la changerait du zob de son mari, hein ? qu’est-ce que t’en pense Fred.

-Et si on commençait par se faire tailler une petite pipe, poursuit Rik, le chef de la bande.

-Oh non messieurs, pas ça, refuse Sylvaine.

-Elle n’a jamais fait ça, dit Yvan, prenez ce que vous voulait, et partez.

-Hey, mais tu es bien pressé, dit Rik. Avant, on va s’amuser un peu avec ta femme…tu vas voir comme elle va aimer.

D’un geste brusque, Yvan est poussé contre le mur, pendant que Jef, met un genou sur le lit. Il ordonne à la jeune femme d’écarter les jambes. Après un refus catégorique, une gifle s’abat sur ses fesses. Yvan fait un bon en avant, mais est vite maitrisé.

-Ecarte tes jambes, j’ai dit…voila, comme ça. Hum…quelle belle chatte.

Jef glisse une main entre les cuisses de Sylvaine. Cette dernière ferme les yeux quand des doigts pénètrent la chatte, tandis qu’un autre excite le clitoris. Mais son corps commence à réagir. Elle gémit sous les odieuses caresses. Jef la regarde dans les yeux.

-Hum, c’est bon ça, dit-il, dit à ton mari que c’est bon…allez.

-Oh oui c’est bon, avoue la jeune femme. Oh chéri, si tu savais ce qu’il fait à la petite chatte de ta femme, comme il la branle…hou…oui.

Calmement, Jef sort sa bite, la passe sur le visage de Sylvaine. Elle tourne sa tête d’un côté, de l’autre, pour l’éviter. Soudain, elle ouvre la bouche quand elle atteint l’orgasme. Jef en profite pour y enfoncer sa queue, et entamer de lent va et vient.

-Non, pas ça, hurle Yvan, quand il voit couler le sperme dans la bouche de sa femme…pourquoi…tu ne me l’a jamais fait…

-Dit à ton mari, qu’il n’est pas assez monté pour ça.

-Il raison mon chéri, regarde sa queue comparée à la tienne.

Jef monte sur la jeune femme, se cale entre ses cuisses. Sa bite en érection pénètre la chatte. Vaincue, elle le prend par le cou, et lui donne un tendre baiser.

-Vas-y, souffle-t-elle, fait lui voir comme on baise une femme.

-Mais pourquoi tu dis ça ma chéri, s’offusque Yvan.

-Parce que tu es un incapable, avec ton zob d’un gamin de huit ans. Si tu voyais ce que j’ai dans la chatte. Je prie pour que les autres soient aussi bien montés. Je veux me faire défoncer cette nuit…par tous les trous…

-Quoi, mais tu n’as jamais voulu que je te sodomise…et là…tu dis que…

-Je vais me le faire mettre…oui. C’est sur que ton petit fifre m’aurait certainement moins fait mal, que le calibre qui va m’enculer. Mais à prendre du plaisir, autant que ce soit avec un mâle, un vrai.

Jef se retire, remplacé par Fred, à la bite colossale. Il oblige Sylvaine à se mettre à quatre pattes. Son énorme gland, entièrement décalotté, ouvre le petit trou. Sylvaine serre les dents, pour ne pas hurler de douleur. Rik tient lui aussi à participer. Il présente sa queue devant la bouche de la jeune femme, qui l’aspire de ses lèvres.

Les deux hommes se mettent en mouvements, sous les protestations d’Yvan, tenue en joug par Jef.

Les deux complices éjaculent en même temps que Sylvaine atteint l’orgasme pour la énième fois.

Jugeant qu’ils avaient assez joués, ils s’enfuient par la porte de service, qui donne accès au garage. Yvan se jette à leur poursuite, et parvient par attraper un retardataire. Sylvaine enfile un peignoir, quand elle entend un cri horrible.

-Non…pas mes petits glaouis…tu me fais mal…aie…aie…non…pas ça…

Sylvaine se précipite au garage, et assiste à un spectacle hallucinant. Son mari est en train de se faire sodomiser en levrette, par un cambrioleur.

-Mais qu’est-ce qu’il t’arrive mon chéri…

-Aie…cet enfoiré…tu ne vois pas qu’il m’encule…sa queue est trop grosse…il me fait mal.

-A bon, sourit-elle, en tout cas, j’ai bien aimé moi, me faire enculer.

-Tiens…petite lopette, prend ça dans le cul, dit le fugitif.

-Ah…le salaud…il est en train de me remplir.

Le cambrioleur embrasse Sylvaine, et s’enfuit. Yvan git au milieu du garage. Sylvaine va à la chambre, et en revient avec le gode que son mari lui a offert.

-Allez mon chéri, dit-elle, écarte bien tes jambes que je t’encule.

-Aie…ah…ah…hurle Yvan.

-A, on ait sage, sinon je les rappelle.

-Non, non…ne les rappelle pas…vas-y, encules moi…ah…ah…

Pour l’anniversaire d’Yvan, Sylvaine lui a offert un gode ceinture.

Depuis, tous les soirs, elle encule son mari. Et il apprécie de plus en plus, à tel point, que c’est lui qui réclame sa dose.

Quant à Sylvaine, elle invite régulièrement le meilleur pote de son mari, pour se faire baiser la nuit entière, devant lui.

Un jour peut être, elle va lui demandé d’enculer son mari.